mercredi 18 novembre 2015

2015 : l'énergie renouvelable au pouvoir…

L'énergie du désespoir… pour la soif

Voilà. Le grand merdier pré-apocalyptique se prépare toujours tranquillement, allant son petit bonhomme de chemin de croix et pépère il claque encore ce qui lui reste de belle jeunesse à taper des conneries sur son blog. Vous allez voir qu'avec le fond mauvais qu'il a il va encore venir nous cracher sur la COP 21 alors que le who's who mondial des crapules incompétentes ayant hérité frauduleusement du pouvoir de régner sur les imbéciles s'apprête à négocier ferme pour avoir le droit de péter sous les draps en loucedé et de continuer à faire produire aux chtis chinois des merdes invendables.

Damned.
Comment avez-vous deviné ?

Je souriais encore, l'autre jour, d'un entrefilet paru dans le Canard enchaîné mentionnant le fait que les sordides thénardiers… Pardon, ma langue a fourché… Je voulais bien entendu dire : les capitaines d'industrie hautement responsables et écolos ayant remporté les marchés de la construction des équipements destinés à l'accueil des maîtres du monde, leurs épouses et leurs maîtresses, ces modèles de probité bétonnière à la française, étaient allés recruter en CDD via quelques sombres officines-filiales, du moldo-slovaque ben d'chez nous pour les faire bosser comme des esclaves à des salaires qui tiennent plus du glaviot en pleine gueule que de la rétribution d'un travail sous-payé afin que la petite fête soit prête à temps. Mais c'est vrai que le pays aux 10 millions de chômeurs est connu à travers le monde entier pour ses hordes d'ouvriers qui se prélassent dans leur RSA en venant roter leur caviar au visage des ministres faméliques hantant nos rues…
À lire cette information, j'ai cru que Sarko était encore au pouvoir et organisait cette belle atteinte au droit du travail national comme tout bon enfoiré de droite pourrait le faire et en fait non : il paraîtrait que nous avons un gouvernement socialiste. Proche de l'ouvrier, donc.
Naaan mais en fait, chuis con : il les aime tellement, ses laborieux électeurs, le parti socialiste, qu'il ne veut surtout pas les fatiguer avec une journée de boulot ou qu'ils aillent s'abîmer les mains sur un chantier, ouhlalaah…

À bien y réfléchir, il est temps que tout ça cesse. Marre des immixtions de la CIA dans les ressources gazières et pétrolifères des pays ex-soviet. Il est temps, alors que la France s'apprête à recevoir sur son sol la Conférence Climatique Mondiale et par la même occasion permettre aux grands de ce monde d'échanger en privé des considérations dignes du café du commerce comme quoi non mais z'avez vu le temps qu'on a rhaaalalah m'en parlez pas c'est encore avec leur putains d'esspériences atoniques qu'y nous détraquent le temps mon bon Vladimir, il est temps dis-je de donner d'un même mouvement un coup de pied dans la fourmilière et un coup d'accélération au progrès énergétique.

Mettons dès à présent en chantier des réacteurs carburant à la seule énergie véritablement propre et intégralement renouvelable que connaisse l'humanité depuis l'aube des temps, j'ai nommé :
l'énergie du désespoir.

Parce que là, honnêtement, vous je sais pas mais moi je pense qu'on tient un vrai filon, autrement plus productif et écolo que les hachoirs à mouettes qu'on nomme éoliennes ou les panneaux solaires fabriqués en Chine dont trois kilomètres carrés de surface arrivent péniblement à éclairer une ampoule dix minutes par jour.

Tenez, c'est bien simple : depuis quelques jours, à la simple lecture des journaux, je serais bien capable d'éclairer et de chauffer Paris et sa banlieue pendant trois semaines. Alors si on s'y met à plusieurs, je vous raconte même pas ! Un seul coup d'œil aux nouvelles du jour, entre deux décapitations en syrie, une vague de réfugiés islamistes et une moukère qui pète en banlieue et hop, on te me vous met le Taj Mahal sur orbite en quinze secondes putain !
Si en plus, comme le prévoient les instituts de sondage, les gars de la Marine font un carton aux prochaines régionales et qu'avec ça on a encore deux trois tarés pour venir faire un carton à la terrasse des cafés ou au jardin du Luxembourg, alors là on a de quoi refaire le big-bang.

Ce qui, après tout, ne serait pas une si mauvaise idée tiens…